Les associations FETCA – CVDT (Belgique), Collectif Tunisiens au Canada, Pontes (Italie), Collectif Mohamed Bouazizi (France-Lyon), Jasmin Tunisie Liberté & Démocratie (France-Toulouse) et Uni*T (France-Paris) animeront une table ronde sur le rôle des diasporas dans cette phase de transition démocratique en Tunisie.
Diverses structures sont encore en cours de mise en place et que nombre de textes juridiques, de décrets, et de procédures relatifs à leur fonctionnement se doivent d’être élaborés.
Les organisations de la société civile tunisiennes cherchent à se réapproprier leur rôle avec les différents acteurs concernés, les principaux types et niveaux d’action visant à renforcer leurs capacités et compétences en tant qu’acteur du dialogue politique, acteur dans la construction d’un Etat de droit, et dans l’appui au développement socio-économique.
La société civile tunisienne ne se considère pas uniquement comme un contre-pouvoir, cantonné dans une logique de confrontation permanente avec l’Etat.
Tout en étant en partie dans l’expectative par rapport à l’Etat, elle poursuit activement ses activités citoyennes qui contribuent à la construction de l’Etat de droit.
Il est important que les organisations de la société civile des Tunisiens à l’étranger puissent agir avec un degré élevé d’autonomie dans les partenariats avec l’Etat, afin d’éviter les risques de confusion, d’ingérence ou de cooptation des administrations dans les actions mises en œuvre par la société civile.
Cet atelier va nous permettre d’échanger et de travailler en réseau avec plusieurs associations tunisiennes, afin que les organisations de la société civile tunisienne venant de différents pays identifient elles-mêmes les problèmes et les besoins spécifiques à leurs interventions ainsi que de formuler conjointement des solutions et appuis envisageables dans le cadre d’un projet commun.
Depuis le 14 janvier 2011 et principalement la période « Post 23 Octobre 2011″ la société civile tunisienne a continué à s’élargir avec la création de plus de 600 associations enregistrées jusqu’en Mars 2012. Les Tunisiens vivant à l’étranger n’échappent pas à la règle et subissent tout autant un changement important au niveau du paysage associatif avec l’émergence de beaucoup de structures associatives à travers plusieurs pays.
La révolution de la dignité a permis de libérer la parole et de générer un élan national qui se traduit par une multitude d’initiatives citoyennes. La Tunisie reste encore en pleine phase de transition démocratique, ce qui implique qu’un très large nombre de paramètres institutionnels sont en cours de définition.Diverses structures sont encore en cours de mise en place et que nombre de textes juridiques, de décrets, et de procédures relatifs à leur fonctionnement se doivent d’être élaborés.
Les organisations de la société civile tunisiennes cherchent à se réapproprier leur rôle avec les différents acteurs concernés, les principaux types et niveaux d’action visant à renforcer leurs capacités et compétences en tant qu’acteur du dialogue politique, acteur dans la construction d’un Etat de droit, et dans l’appui au développement socio-économique.
La société civile tunisienne ne se considère pas uniquement comme un contre-pouvoir, cantonné dans une logique de confrontation permanente avec l’Etat.
Tout en étant en partie dans l’expectative par rapport à l’Etat, elle poursuit activement ses activités citoyennes qui contribuent à la construction de l’Etat de droit.
Il est important que les organisations de la société civile des Tunisiens à l’étranger puissent agir avec un degré élevé d’autonomie dans les partenariats avec l’Etat, afin d’éviter les risques de confusion, d’ingérence ou de cooptation des administrations dans les actions mises en œuvre par la société civile.
Cet atelier va nous permettre d’échanger et de travailler en réseau avec plusieurs associations tunisiennes, afin que les organisations de la société civile tunisienne venant de différents pays identifient elles-mêmes les problèmes et les besoins spécifiques à leurs interventions ainsi que de formuler conjointement des solutions et appuis envisageables dans le cadre d’un projet commun.
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